Le vieux qui lisait des romans d'amour

Luis Sepúlveda, Un viejo que lela novelas de amor, 1988
Traduit par François Maspero. Éditions Métailé, 1992

Un vieil homme qui a vécu chez les Shuar (proches des Achuar de Descola ?) chasse une femelle jaguar rendue folle par la mort de ses petits et de son mâle, tués par un gringo.

Personnages

Note p 18
Jivaro, ou plus exactement jíbaro, veut dire “sauvage” en espagnol.
p 58
Antonio José Bolivar essayait de mettre des limites à l'action des colons qui détruisaient la forêt pour édifier cette œuvre maîtresse de l'homme civilisé : le désert.
p 67
En parcourant les textes de géométrie, il se demandait si cela valait vraiment la peine de savoir lire, et il ne conserva de ces livres qu'une seule longue phrase qu'il sortait dans les moments de mauvaise humeur : “Dans un triangle rectangle, l'hypothénuse est le côté opposé à l'angle droit.”

Romans